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Qu’est-ce qu’on fabrique ensemble ? — Des patouillages et des lipettes. — Tu as du cul, toi, montre-le. — Et toi, tu n’en as pas ? — Un fessinier, il ne veut pas grossir. — Tu te calomnies, montre. — Après toi. — Tiens, vois, il est beau, eh ! — Oh oui, je comprends que Reine s’en toque. — Qu’est-ce que tu me fais ? — Je fourre mon doigt dans le trou pour sentir s’il y a quelque chose. — Cochonne. — Oh, tu peux m’en faire autant, avec Claire, nous y passons notre temps. — Eh bien y a-t-il quelque chose ? — Non, ton cul est un temple de Vestale. — Bête, montre le tien. — T’auras de la désillusion, il ne vaut pas celui de Reine. — Je ne le regarde jamais. — Tu as tort, il est, digne du tien. Tu vois le mien. — Oui, il est drôlichon, mais il n’est pas si vilain que tu dis. — Vrai, tu le penses. — Je te l’embrasse et te le suce pour te le prouver. — Enfonce ton doigt dedans. — Oh non, je n’aimerais pas qu’il y ait des traces. — Avec ça que je te demanderais la chose, si j’y sentais un embarras quelconque. »

L’aumônier m’interrompit et me dit :