Page:Momas (Fuckwell), Débauchées précoces, 1900.djvu/68

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

jambes. Elle vautrait la tête sur ses cuisses, le fourrageait de la langue autour des couilles et dessous, s’essayait à conquérir la ligne des fesses : elle multipliait les caresses, les suçons ; à son tour elle le dominait ; il lâcha la chevelure et dit :

— Petite coquine, petite coquine, tu es plus forte que moi : arrête-toi.

Elle en jouait comme d’un fétu de paille ; le claquait sur les fesses et les cuisses, lui mordillait le ventre, le cul, avalait la queue et la recrachait, se tenant tantôt agenouillée, tantôt accroupie, se courbant pour frapper les mollets, les jambes.

— Je suis le chat et tu es la souris, s’écria-t-elle !

Elle s’était redressée pour appuyer un genou nu sur la queue, il la saisit par la taille, voulut l’asseoir par dessus lui.

— Non, non, dit-elle, pas comme dans le train ; tout nus, si tu veux mouiller.

Elle croyait en l’éjaculation décisive ; il la retint, la caressa et répondit :

— Déshabille-toi, je te le répète, et viens faire ta petite gâtée.