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touillait aux cuisses. Elle se pressa tout contre sa poitrine, la queue glissa jusqu’à la raie de son cul, mais l’exaltation de Célestin était telle cette fois, qu’il la tint serrée dans ses bras, s’agitant au-dessous pour se masturber par le frottement de ses chairs.

Elle avait sans doute l’expérience de la chose, elle exécuta elle-même la manœuvre, et tout d’un coup, l’éjaculation se produisit, l’éclaboussant jusqu’au nombril.

En femme, qui en connaît la valeur, elle la laissa se terminer, la tête cachée sur les épaules de Célestin, ne remuant plus pour ne pas le gêner ; quand il eut achevé de jouir, elle releva les yeux humides de plaisir, et dit :

— Oh, le fusil est parti, donne-moi ton mouchoir pour m’essuyer.

— Dans un instant.

— Attends que je remonte ma chemise, tu m’as mouillée bien haut.

Il ne la contraria pas dans cette précaution ; pendant quelques secondes il savoura son étrange bonheur. Puis, il lui passa son mouchoir, elle se dressa, il la