tôt à ton imagination ! Or ça, pourquoi ne suces-tu plus ?
— Tu me dis des bêtises et il faut bien que je te réponde.
— Monte sur le lit.
— Tu veux me l’enfoncer ?
— Je ne suis pas encore décidé. Dans tous les cas, tu vas d’abord me présenter ton cul, que je lui fasse un gros bécot.
— Oh, tu voudras ensuite comme avec Agathe et tu me feras encore souffrir ! Si tu veux l’enfoncer, enfonce-le par devant, j’y suis habituée.
— Vraiment ! et ton amie Agathe t’a raconté la chose ; je croyais que vous étiez très discrètes pour toutes ces histoires.
Elle comprit qu’elle avait commis une sottise, elle essaya de la rattraper en disant :
— Ça se devine ; puis, tu me l’as dit toi-même.
— Tu deviens raisonneuse.
— Ça te contrarie : fesse-moi si ça te plaît, mais ne me pose plus des questions.