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Débauchées précoces, Bandeau de début de chapitre
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VIII


Elle n’avait pas l’habitude de faire la grasse matinée : à huit heures elle s’éveilla et se leva. Aucun bruit ne lui parvenait, sinon ceux de l’avenue Friedland.

Impressionnée de ce calme, elle crut de son devoir de s’occuper de sa chambre ; cet ouvrage terminé, elle passa à sa toilette.

Se rappelant qu’elle avait licence d’entrer chez lui, elle entrouvrit la porte de communication et entendit son souffle régulier, il dormait encore ; elle referma doucement, vint à sa fenêtre aspirer