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merveilleuses dispositions d’Agathe, ni sur l’éveil de son intelligence, on l’a déjà jugée.

Finette avait retourné à demi les fesses, écrasant sous leurs rotondités Rita qui ne s’en plaignait pas, et trouvait régal exquis à les combler de suçons. Apercevant son amie qui se plaçait pour les minettes, elle lui tendit par dessous la langue, et Agathe envoyant la sienne, toutes les deux s’en chatouillèrent le bout, puis retournèrent à leurs caresses, s’entrecroisant les jambes pour se donner mutuellement des coups de ventre.

L’œuvre du joujou s’exécuta ; Finette en eut une telle émotion, qu’elle appliqua de violents coups de cul sur le visage de Rita, agrippa le bras d’Agathe en murmurant :

— Plus vite, plus vite, ça vient, je jouis.

Agathe enfonçait tout l’objet, le retirait, elle eut l’intuition de le bouger dans l’intérieur du con et la jouissance survint, affolant les trois luxurieuses.

La pâmoison les saisit : elles demeurèrent immobiles, prostrées sur place, en face de leurs sexualités, où elles bavaient