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effet dans un paroxysme d’hystérie passionnée ; Agathe, qu’elle traitait en amant de cœur, demeura chargée de le manœuvrer.

Pour cette séance mémorable du début, il fallait la nuit, on recourut à la punition d’incarcération ; elle alla sur les onze heures quérir ses deux complices.

Elle commença par choyer ses pouponnes, manœuvra les deux fillettes pour bien les mettre en train, les poussant à s’aimer, à se délecter entr’elles par dessus ses cuisses, leur servant d’oreiller, avec la permission de renifler son con, de le lécher pour se donner du piment. Quand elles furent bien lancées, elle appela Rita à ses fesses ; attirant Agathe, elle lui montra ce joujou qu’elle avait caché sous le traversin, et lui indiqua la manière de l’utiliser.

— Lèche-moi bien fort, dit-elle, enfonce bien ta languette dans le trou ; puis, quand ça mouillera un peu, vite tu entreras et sortiras ce joujou, en m’appelant des plus jolis noms qui te viendront à l’esprit.

Il n’est nul besoin d’insister sur les