Il y a cent choses comme cela qui passent de la tête.
Embrassez-moi donc, je vous prie, et resserrons les nœuds de notre ancienne amitié.
Voilà un homme qui vous aime fort.
Dites-moi un peu des nouvelles de toute la parenté. Comment se porte monsieur votre… là… qui est si honnête homme ?
Mon frère le consul ?
Oui.
Il se porte le mieux du monde.
Certes, j’en suis ravi. Et celui qui est de si bonne humeur ? Là… monsieur votre…
Mon cousin l’assesseur ?
Justement.
Toujours gai et gaillard.
Ma foi, j’en ai beaucoup de joie. Et monsieur votre oncle ? Le…
Je n’ai point d’oncle.
Vous aviez pourtant en ce temps-là…
Non : rien qu’une tante.
C’est ce que je voulois dire, madame votre tante. Comment se porte-t-elle ?
Elle est morte depuis six mois.