Je pensais que tout fût perdu. (À Pancrace.) Seigneur docteur, ne songez plus à tout cela. Je…
Je suis dans une colère, que je ne me sens pas.
Laissez la forme et le chapeau en paix. J’ai quelque chose à vous communiquer. Je…
Impertinent fieffé !
De grâce, remettez-vous. Je…
Ignorant !
Eh ! mon Dieu. Je…
Me vouloir soutenir une proposition de la sorte !
Il a tort. Je…
Une proposition condamnée par Aristote !
Cela est vrai. Je…
En termes exprès !
Vous avez raison. (se tournant du côté par où Pancrace est entré.) Oui, vous êtes un sot et un impudent, de vouloir disputer contre un docteur qui sait lire et écrire. Voilà qui est fait : je vous prie de m’écouter. Je viens vous consulter sur une affaire qui m’embarrasse. J’ai dessein de prendre une femme, pour me tenir compagnie dans mon ménage. La personne est belle et bien faite ; elle me plaît beaucoup, et est ravie de m’épouser. Son père me l’a accordée ; mais je crains un peu ce que vous savez, la disgrâce dans on ne plaint personne ;