La, la, la, la, lare, la, la, la, la, la, la.
Je ne sais pas si…
La, la, la, la, lare, la, la, la, la, la, la, la.
Il me semble que…
La, la, la, lare, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la.
Il se passe des choses assez plaisantes dans notre dispute. Je trouve qu’on en pourrait bien faire une petite comédie, et que cela ne serait pas trop mal à la queue de l’École des Femmes.
Vous avez raison.
Parbleu, chevalier, tu jouerais là dedans un rôle qui ne te serait pas avantageux.
Il est vrai, marquis.
Pour moi, je souhaiterais que cela se fît, pourvu qu’on traitât l’affaire comme elle s’est passée.
Et moi, je fournirais de bon cœur mon personnage.
Je ne refuserais pas le mien, que je pense.
Puisque chacun en serait content, chevalier, faites un mémoire de tout, et le donnez à Molière, que vous connaissez, pour le mettre en comédie.
Il n’aurait garde, sans doute, et ce ne serait pas des vers à sa louange.
Point, point ; je connais son humeur : il ne se soucie pas qu’on fronde ses pièces, pourvu qu’il y vienne du monde.
Oui. Mais quel dénouement pourrait-il trouver à ceci ? Car