Y a-t-il quelqu’un qui sache écrire ?
Est-ce que vous ne le savez point ?
Ah ! je ne m’en souvenois pas ; j’ai tant d’affaires dans la tête, que j’oublie la moitié… Je crois qu’il seroit nécessaire que votre fille prît un peu l’air, qu’elle se divertît à la campagne.
Nous avons un fort beau jardin, et quelques chambres qui y répondent ; si vous le trouvez à propos, je l’y ferai loger.
Allons visiter les lieux.
Scène VI
J’ai ouï dire que la fille de monsieur Gorgibus étoit malade ; il faut que je m’informe de sa santé, et que je lui offre mes services comme ami de toute sa famille. Holà, holà ! monsieur Gorgibus y est-il ?
Scène VII
Ayant appris la maladie de mademoiselle votre fille, je vous suis venu témoigner la part que j’y prends, et vous faire offre de tout ce qui dépend de moi.
J’étois là dedans avec le plus savant homme.
N’y auroit-il pas moyen de l’entretenir un moment ?
Scène VIII
Monsieur, voilà un fort habile homme de mes amis, qui souhaiteroit de vous parler et vous entretenir.
Je n’ai pas le loisir, monsieur Gorgibus : il faut aller à mes malades. Je ne prendrai pas la droite avec vous, monsieur.