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tendresse m’a conduit jusqu’a refuser queuque fois au malheureux le secours qu’il imploroit de ma pitié.
(Les larmes le suffoquent malgré lui.)
Ah ! c’est dieu qui me punit et ben cruellement car je crois que j’en mourrai.
(Il tombe dans un fauteuil.)
Florval (avec le cri du désespoir et du remord)
Mon pere !
Grosjean
Ton pere ! Ton pere !… Je ne le sis pus. Et v’la mon malheur… Je n’ai pus d’enfant. Le seul que j’avois m’a méprisé… Je sis tout seul maintenant dans le monde et quand j’en sortirai, il ne coulera pas sur ma tombe une seule larme de c’t’ingrat que j’ai tant aimé.
Florval
Mon dieu ! Suis-je assés puni.
Grosjean, avec la plus grande énergie
Vas rien ne peut assés punir un enfant