plus heureux que moi… Ah ça, nous allons diner chés ta tante. (à Florval) La sœur de feue ma pauvre femme. (à Célestine) Es-tu prete ?
Je suis à vos ordres, mon pere, nous partirons quand il vous plaira.
Allons donc. (à Florval) Veux tu venir avec nous, Florval ? Tu seras le bien reçu. Tu sais que la bonne dame a de l’amitié pour toi…
Et ma reconnaissance envers elle égale mon respect… Mais, si vous le permettés, je donnerai le reste de cette journée aux préparatifs de celle qui doit lui succeder et qui sera la plus belle de ma vie.
Allons, allons, tu as raison. La veille d’un mariage on a tant de choses dans la tête ! Je me rappelle bien de cela moi : quoi qu’il y ait déjà longtems que ce moment soit passé. Cependant il m’arrive encore