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la table et l’emportent dans l’ambulance. Férosa les voit ; à la fin du morceau, Boboli est aux genoux de Nani, et Rhododendron à ceux de Férosa.)
BOBOLI.
À toi, ma houri, mon cœur, mes esclaves, mon palanquin doré, mon éléphant, et Cocobo avec, si tu le veux.
RHODODENDRON.
À vous, ma divinité, mon cœur, ma main, ma fabrique de cachemires… Ternaux.
FÉROSA, minaudant.
Votre main, votre cœur.
RHODODENDRON.
Mes palais.
FÉROSA.
Vos palais… votre… pachalik ?
RHODODENDRON.
Mon pachalik, mes trente-deux esclaves et leurs trente-deux éléphants.
NANI.
Ah ! trente-deux éléphants : c’est lui ; il est tombé dans le piége.
FÉROSA.
Vous êtes Rhododendron !
TOUS, avec effroi.
Rhododendron !
RHODODENDRON, à part.
Imbécile, je suis pincé.
FÉROSA.
Qu’on l’arrête !
(Deux gardes le saisissent.)
RHODODENDRON.
Enfer, poignard, potence et poison, je me suis trahi.
FÉROSA.
Un conseil de guerre se réunira demain pour juger tous ces faux