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près en l’honneur de ses mœurs turques, Gautier trône dans ce pandémonium, où douze chats, ses favoris, ont leurs franches allures et se livrent à un éternel ron-ron, qui sur les genoux du maître, qui le long des tapis, qui sur les divans ou dans les moelleuses bergères.

Paul de Kock aime la race féline.

Mais chez Théophile Gautier cet amour dégénère en adoration. Comme les Égyptiens, il finira par dresser aux chats des autels.

Après avoir quitté la bohême de la rue du Doyenné, notre héros habita longtemps une fort belle maison de la rue de Navarin, n° 14, où restaient en même temps que lui Amédée Achard, Louis Desnoyers et Laurent Jan.