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Ce second roman est la déification des instincts matériels, de la volupté, de la richesse et du caprice.
Fortunio, fils sauvage de l’Orient, vient implanter les mœurs du sérail au milieu même de Paris. Grâce à la puissance de l’or, ce Nabab, orné de vingt millions de revenus, se permet à deux pas de la lanterne du commissaire de police, des fantaisies que la cour d’assises ne tolère pas ordinairement chez nous. Il brûle l’hôtel de sa maîtresse, un soir, en guise de passe-temps, et coupe la tête à des esclaves pour se divertir.
Mépris du cœur et du sentiment, soufflet réitéré de page en page sur les deux