aurais fait part de deux anecdotes au sujet de la gourmandise du bon M. Janin.
« La première est celle-ci :
« Prié par M. de Metternich de lui donner un autographe, l’auteur de l’Âne mort écrivit sur une feuille de vélin : « Bon pour cent bouteilles de Johannisberg, à déposer dans ma cave. » Et les cent bouteilles furent expédiées par le prince.
« La seconde anecdote est plus connue.
« On parlait à mademoiselle Mars d’un feuilleton de Jules, où elle était drapée de belle sorte. « — Vous avez trouvé, dit-elle, mon critique un peu amer, lundi ; j’avais oublié de le sucrer dimanche. »
Eh bien ! parole d’honneur, Janin, nous connaissions tout cela ! mais nous avions à cœur, méchant que vous êtes, de ne pas trop vous humilier.
Faites-nous le plaisir de jeter un coup d’œil sur cette troisième lettre :