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les, dont elle espérait tirer plus d’argent que du premier.
Cette fécondité du bas-bleu devenait inquiétante.
Scribe appela Guyot[1] et lui donna l’ordre de faire rapporter aux Empiriques, joués ou non, douze cents francs par an de droits d’auteur.
Il créait ainsi à madame Friedelle (c’était le nom de sa collaboratrice) une pension de six cents francs, afin qu’elle le laissât en repos.
Mais le contraire arriva.
La délicatesse même du secours exposait Scribe à des visites presque quotidiennes, et le déluge des manuscrits allait croissant.
- ↑ L’un des deux agents dramatiques chargés de la perception des droits.