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tourne à la campagne, lorsque la primevère commence à poindre.

Paul de Kock a soixante ans, mais il en paraît quarante.

Vif, alerte, plein de verdeur, il n’a rien perdu ni de sa verve, ni de son esprit, ni de son entrain joyeux.

Sa figure est belle, son extérieur plein de distinction.

Presque toujours il observe ou réfléchit ; son premier abord a quelque chose de froid et de sérieux. Il ne laisse échapper aucun ridicule, aucun trait de sentiment et de caractère.

On l’a vu rester cinq heures de suite à sa fenêtre du boulevard.