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— Si je n’y prends garde, dit Paul de Kock, ces gaillards-là ne me laisseront plus un pied d’ombre !

Ce fut alors qu’il écrivit l’Amant de la lune, pour acheter une partie de sa forêt bien aimée. Les vingt-deux mille francs du libraire Baudry servirent à payer au conseil municipal cent cinquante mères carrés, plantés d’ormes et de chênes, et qui sont aujourd’hui sauvés du défrichement.

Paul de Kock les a fait entourer de murs et de palissades.

Au milieu de ces ombrages s’élève un théâtre champêtre, où son fils, sa fille et ses hôtes jouent la comédie.