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lote tient éveillés ceux qui ne veulent pas dormir.

Les uns jouent, les autres dansent.

Quand le maître du logis est décavé, ou quand la montre le chasse au quart d’heure, il prend son violon pour faire polker les dames, et chante au piano des chansonnettes dont il compose la musique.

Quelques-unes sont devenues aussi populaires que ses livres.

Il suffit de citer l’Anglais en bonne fortune, — le Caissier, — le Maître d’école et les Concerts-Monstres.

À Romainville, Paul de Kock écrit ses romans à l’ombre des arbres, étendu