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tive les roses et fait les honneurs de Romainville avec une grâce parfaite.

Comme l’auteur de Frère Jacques, elle aime beaucoup les chats.

Mortimer, son énorme matou, la suit dans ses promenades. Il a les mœurs d’un caniche. Seulement on ignore pourquoi elle lui donne le nom du farouche Anglais qui a fait assassiner Édouard II.

Quand les chattes du voisinage sont par trop prolifiques, au lieu de noyer les petits, on les jette par-dessus le mur, dans le jardin de Paul de Kock. On sait que le père et la fille n’hésitent jamais à se charger de leur éducation[1].

  1. On a vu jusqu’à trente chats à Romainville. Quelques-uns deviennent sauvages et vont habiter le bois. Les