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semaine. Je vais lui présenter mes respects.

— J’accepte vos respects, mon brave, dit le romancier en lui frappant sur l’épaule ; mais il est bon de vous dire qu’un autre que moi a mangé vos dîners.

— Un autre que vous… C’est juste… Pardon !… je ne comprends pas.

— Vous me comprendrez mieux quand je vous aurai dit qu’on vous trompe. Regardez-moi. M’avez-vous jamais vu ?

— Non.

— Eh bien ! je suis Paul de Kock.

— Bonté du ciel !… est-ce possible ?… Ah ! le brigand !… il m’a volé ! s’écria le traiteur.