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plaît ? demanda-t-il en s’adressant au romancier lui-même.
— Que lui voulez-vous, mon ami ?
— Lui souhaiter le bonjour d’abord.
— Vous le connaissez donc ?
— Si je le connais, je crois bien ! il a fait ma fortune.
— Et comment cela, mon brave ?
— Ah ! voici, dit le traiteur : figurez-vous que Paul de Kock dîne chez moi tous les dimanches.
— Tous les dimanches, vous en êtes sûr ?
— Parbleu ! puisqu’il dîne avec son épouse.
— La preuve est excellente ! s’écria