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l’un d’eux ; envoie-moi à ta place au rendez-vous.

— Vraiment, tu consentirais…

— Oui, certes. Écris une lettre d’excuses. Je me charge du reste.

— Garçon ! cria Paul de Kock, une plume et de l’encre !

— Un instant, messieurs, nous mourons de faim, dirent en chœur les autres vaudevillistes. Paul est le plus gourmand de la bande, c’est lui que nous chargeons de la carte du dîner.

— Soit, je vous dicterai cela tout en faisant ma lettre.

En moins de deux minutes, les excuses à la chatte noire étaient écrites et la