Page:Mirecourt - Paul de Kock.djvu/63

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

prennent d’une belle tendresse pour l’auteur, et se figurent qu’il va la partager. Leur illusion n’est pas longue.

Paul de Kock se trouva bientôt vis-à-vis d’une promeneuse élégante, vêtue d’une robe de satin noir, portant un cachemire noir, un chapeau de crêpe noir et des gants blancs.

C’était la chatte qui avait écrit le billet.

Lorsqu’elle écarta son voile, il reconnut une personne assez jolie, à laquelle il adressait rarement la parole dans les cercles où il faisait sa rencontre, précisément parce qu’elle lui semblait être de ces natures exaltées qui gravissent jusqu’aux sommets les plus étourdissants de la passion.

Paul de Kock aime les amours en