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cordialement ses principes, soit en politique, soit en morale.

Il n’y a donc jamais eu entre eux de rapprochements possible.

Paul de Kock a écrit une multitude de pièces pour le théâtre ; presque toutes sont tirées de ses livres et portent le même titre[1].

  1. Parmi celles dont le sujet n’a pas été emprunté à ses romans, nous citerons le Philosophe en voyage, — les Enfants de maître Pierre, — le Muletier, trois opéras-comiques, dont Mengal, Pradher et Hérold ont écrit la partition ; — le Caporal et la Payse, — Un mari perdu, — le Commis et la Grisette, — la Garde-malade, — les Bains à domicile, — Un bal de grisettes, — la Salle Ventadour, — la Famille Fanfreluche, — l’Auberge de Chantilly, — les Jeux innocents, — la Femme à deux maris, etc., etc. Ces dernières pièces ont été jouées avec beaucoup de succès au Palais-Royal, au Vaudeville, aux Variétés et au Gymnase. Les drames de Paul de Kock, outre ceux que nous avons déjà cités, sont : Tout ou rien (3 actes),