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et toutes ses qualités lui restent, c’est-à-dire sa verve chaleureuse et son inépuisable gaieté.

Les Italiens, les Allemands, les Russes, les Anglais, les Américains ne lisent que du Paul de Kock, absolument comme, en fait de théâtre, ils ne veulent entendre parler que du M. Scribe.

À Rome, le prédécesseur de Pie IX avait toujours entre les mains un livre du joyeux romancier.

Quand un Français de distinction demandait audience et se présentait au Vatican pour baiser la mule du Saint-Père, le premier mot que lui adressait le pontife était toujours celui-ci :

« — Come sta il signor Paolo de