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chandelle dans les poches de votre maître de dessin ; vous faisiez le diable enfin ! Je disais à ma sœur de vous corriger. Pauvre Hortense ! elle vous trouvait charmant ! — Ah ! mon oncle, toutes les dames étaient de l’avis de ma mère ! — Oui !… c’est pour cela que vous les aimez toutes généralement ? — C’est par reconnaissance, mon oncle.

On voit que si Paul de Kock n’a point de style, comme le crient sur les toits nos sévères aristarques, il parle néanmoins le français tant bien que mal.

Cela suffit à la masse des lecteurs qui dévorent ses livres.

Mais c’est à l’étranger surtout que l’auteur de Sœur Anne obtient un succès colossal. Chez nos voisins, son défaut de style disparaît sous la traduction ou s’impute au traducteur,