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— Bah ! s’écrie-t-elle, « si la volupté est dangereuse, les plaisanteries ne l’inspirent jamais ! »

Et la folle, après avoir fait preuve d’érudition en citant M. de Voltaire, nous quitte pour aller courir la prétantaine.

Malheureusement, sous le double rapport de la décence et de la morale, M. de Voltaire nous semble une autorité contestable.

Interrogeons à présent le héros de cette biographie ; nous le trouvons de la même opinion que sa muse.

« — Lisez mes livres, nous dira Paul de Kock ; je suis beaucoup plus moral qu’on ne pense. »

A-t-il raison ? Voilà ce que la suite