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Paul de Kock sait comme on fait les crêpes dans la chambre d’une grisette.

Il vous donne un spécimen de l’orthographe de ces demoiselles, qui écrivent sur leur porte :

« Je cuis chez la voisine. »

Et les folles promenades à Romainville, aux prés Saint-Gervais, sous les lilas, dans les champs, le long des sentiers sablonneux ! et les éclats de joie, les sauts, les gambades, les culbutes sur l’herbe ! et ces turbulentes descriptions des Champs-Élysées, des barrières, du vieux Tivoli qui n’existe plus, où retrouverez-vous tout cela, si ce n’est dans les romans de Paul de Kock ?