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résultat de lecture, il est moins à craindre que beaucoup d’autres ; voilà ce que nous prouvons, et nous ne voulons rien prouver au-delà.

Un des caractères les plus saillants du génie de Paul de Kock est cette facilité prodigieuse qu’il possède de pouvoir presque sans transition, passer du comique au sérieux et du rire aux larmes.

Après des scènes burlesques et désopilantes comme celles de la mère Thomas chez son fils, M. de la Thomassinière, arrive un épisode comme celui d’Auguste chez le vieux Dorfeuil. Le cœur est satisfait, l’âme est contente. On rit beaucoup mieux après avoir pleuré.