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est passée dans le geste et dans le regard, vous êtes plus à plaindre qu’à blâmer.

Si Denise, la gentille Laitière de Montfermeil, avec son candide amour, ne vous semble pas un type ravissant et plein de grâce ; si les scènes de la Chaumière, la marmite de Coco, la chèvre blanche qui dort aux pieds de l’enfant, tous ces tableaux naïfs d’innocence vous laissent froids et insensibles, si vous ne pleurez pas à l’arrivée d’Auguste, malheureux et ruiné, chez ces bons villageois qui l’aiment, nous n’y comprenons plus rien.

Nécessairement il vous manque quelque chose au cœur.

Le Cocu lui-même, en dépit de son