fort peu ses périodes ; il ne recherche ni l’éclat, ni la pureté, ni la correction. Le mot arrive, il l’écrit comme il se présente. Sa phrase est sans gêne ; elle se rit de toutes les délicatesses de la forme et marche cavalièrement, à l’hurluberlu, sans s’inquiéter ni de l’élégance, ni de la tournure, ni de la méthode.
C’est un tort sans doute, un tort très grave, et Paul de Kock en est le premier puni, puisqu’il n’a point l’estime des hauts barons littéraires.
ment authentique, et les occasions de féliciter M. Dumas sont trop rares, pour que nous ne saisissions pas celle-ci avec empressement. Ah ! si les œuvres de Paul de Kock avaient seulement cinquante ans de plus, quelle abondante moisson M. Dumas pourrait y cueillir ! Du reste, certains auteurs ne se gênent pas pour dépouiller Paul de Kock de son vivant. Nous citerons, entre autres, Maximilien Perrin et M. Clairville.