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Et Dieu sait comme le rouge leur montait au front, quand un malin commis s’exclamait devant quinze ou vingt lecteurs de journaux :

« — C’est le Cocu que vous demandez ? Voici le Cocu, madame ! »

On n’alla plus chercher le livre soi-même ; on l’envoya prendre par les femmes de ménage et par les concierges.

Nous venons de raconter les faits sans appréciations, sans commentaires. Dans la littérature de haut parage, on a pour Paul de Kock un dédain superbe. Il faut voir le sourire de pitié qui contracte certaines lèvres lorsqu’on prononce le nom de cet écrivain. Paul de Kock, allons donc ! Est-ce que Paul de Kock sait