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dacieux qui épouvanta les lectrices, mais que l’auteur conserva sur toutes les éditions du livre, en s’appuyant, à tort ou à raison, de l’exemple de Molière.

Celles de ces dames qui n’osaient prononcer le mot disaient, en entrant au cabinet de lecture :

— Voulez-vous, je vous prie, me donner le dernier de Paul de Kock ?

    cun engagement. Il vendit à différents libraires, et souvent à des prix énormes, la Jolie Fille du faubourg, — l’Homme aux trois culottes, — l’Amoureux transi, — Ce Monsieur, — Carotin, — Mon ami Piffard, — Jenny ou les Trois Marchés aux fleurs, — Sans cravate, — la Famille Gogo, — l’Amant de la lune (payé vingt-deux mille francs par le libraire Baudry), — l’Amour qui passe et l’Amour qui vient, — Taquinet le bossu, — Une Gaillarde, — Cerisette, — la Mare d’Auteuil, — les Étuvistes (roman dans le genre du Barbier de Paris), — un Monsieur très tourmenté, — et la Bouquetière du Château-d’Eau. Les œuvres complètes de Paul de Kock forment plus de cent volumes in-octavo.