Page:Mirecourt - Paul de Kock.djvu/3

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

PAUL DE KOCK


Ô muse légère, muse débraillée ! espiègle et pétulante grisette, qui es venue te joindre effrontément à la troupe des neuf sœurs, et que les puritains de la critique ont en si piteuse estime ! muse de Casanova, de Pigault-Lebrun et de Paul de Kock, est-ce à toi que nous al-