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deux derniers livres fut immense, et l’auteur se vit littéralement assiégé par les libraires.

C’était une course au clocher pour avoir ses manuscrits.

Barba résolut d’en finir avec toutes ces rivalités commerciales. Il avait le premier découvert la mine ; en conséquence il se mit en mesure d’exploiter à lui seul le talent de Paul de Kock et de ne pas laisser aux autres le plus léger filon.

— Vous avez quelquefois en ma présence, lui dit le fin libraire, manifesté le désir de louer dans les environs de Paris une maison de campagne ?

— À Romainville, Barba ! oui, c’est mon rêve !