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— Je m’occupe à peu près exclusivement de pièces de théâtre, dit Barba ; mais je puis vous trouver un éditeur de romans.

— En vérité ? s’écria Paul avec joie.

— Combien lui vendrez-vous ce livre ?

— Ce qu’il m’en offrira.

— Vous êtes sûr alors de traiter avec mon homme. Je vous l’enverrai.

Le lendemain Paul de Kock vit entrer chez lui l’éditeur Hubert de la Galerie de bois, qui débuta par se plaindre de l’indifférence du public pour les livres.

— Ah ! monsieur, dit-il, aujourd’hui les romans ne se vendent plus, et les affaires sont détestables ! Néanmoins,