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Le jeune homme ne se fit pas répéter deux fois cette bienheureuse invitation.

Mais il n’était pas au bout de ses peines.

Une fois un livre imprimé, l’essentiel est de le vendre, et l’Enfant de ma femme ne trouva point d’acheteurs. Paul déposa vainement ses exemplaires dans les principales maisons de librairie : Jamais un éditeur ne pousse un livre dont il n’a pas fait les frais.

Cependant notre héros ne perd point courage.

Il écrit un second roman qui a pour titre : Georgette ou la fille du tabellion ; mais ceux auxquels il le propose lui répondent :

— Attendez au moins que le premier