Page:Mirecourt - Paul de Kock.djvu/14

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Pourquoi cela, je vous prie ? demanda Paul, avec un accent de résolution qu’on ne lui avait jamais connu jusqu’alors. Je lis des romans, monsieur, parce que je veux en faire, et j’apprends mon métier ! De quoi vous mêlez-vous ?

La réponse était vive.

Madame de Kock gronda son fils et ne parut pas très émerveillée de la vocation qu’il annonçait.

Elle renvoya le précepteur, pour en choisir un autre, qui avait un système d’enseignement moins romanesque.

Adieu les promenades à Romainville ! adieu les attrayantes lectures sous l’ombrage ! Il fallut en revenir bon gré mal gré aux thèmes et aux versions. Les vo-