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l’on nous prouvera que nous devons dire de lui ce que nous disons de Méry :

« Il fait tous ses livres.

« Jamais son œuvre n’a été souillée par une plume étrangère.

« Sa gloire est vierge, son mérite est intact, l’honnêteté de son travail n’a jamais été mise en doute.

« Il n’a pas jeté ses confrères sur un chemin funeste ; il ne les a pas réduits à négliger l’art pour faire du métier ; il n’a pas, à lui tout seul et par des moyens impies, absorbé le budget des lettres.

« Enfin, s’il a eu des collaborateurs, il les a toujours placés à sa droite au soleil de sa renommée. »


fin.