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et tout ce qu’il lui fallut traverser d’obstacles pour arriver à jeter la base de ces institutions précieuses, aujourd’hui solidement assises. Que d’efforts surhumains ! que de dévouement ! que de luttes pénibles contre le mauvais vouloir des uns, contre l’indifférence des autres !

L’archevêque de Paris a dit de M. Taylor : « C’est tout à la fois un apôtre de la philosophie chrétienne et de la philosophie antique. »

Jamais éloge ne fut plus complet ni mieux mérité[1].

  1. Voir à la fin de ce volume, aux pièces justificatives, deux lettres qui nous ont été communiquées par le conservateur d’une riche bibliothèque. Elles réunissent dans la même estime et dans la même admiration pour le baron Taylor des hommes entièrement opposés de mœurs, de religion et de langage. Nous avons fait traduire ces lettres pour nos lecteurs.