rir par une plus grande pureté de conscience, où serait le mal ? — Nous sommes encore des enfants, soyons donc enfin des hommes.
(Presse du 25 janvier 1850.)
Ouf ! respirons !
Il est certain qu’après cela vous n’osiez pas convenir vis-à-vis de vos lecteurs que vous intentiez un procès au sujet de votre propre biographie. Vous sentiez combien on allait vous trouver peu conséquent avec vous-même. Ces diables d’abonnés collectionnent, gardent les articles et confrontent celui du jour avec celui de la veille.
Ainsi, grand homme, vous n’étiez pas assez fort de votre conscience ?
Ainsi vous aviez besoin d’un tribunal pour vous venger ? Le tribunal de la conscience publique ne vous suffisait pas. Doutiez-vous, par hasard, de l’arrêt qu’il aurait pu rendre ?