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— Je ne crois pas me tromper, Sire, répondit Taylor en s’inclinant.
— Non, vous êtes bien instruit. Ah ! c’était le temps de ma jeunesse ! (Les yeux du roi devinrent humides.) Nous étions un peu fous alors. Je jouais le rôle du comte Almaviva, et Marie-Antoinette jouait Suzanne. Pauvre reine ! Vous me rappelez tout à la fois de joyeux et tristes souvenirs. Croyez-moi, ne parlons plus de ces choses.
— Enfin, Sire, l’œuvre de Beaumarchais ne peut être mise à l’index, quand le prince qui a bien voulu l’honorer est sur le trône.
— Sans doute… Votre logique est adroite. Mais, là, franchement, croyez-vous qu’il n’y ait aucun scandale ?