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L’Avenir fut condamné par une lettre encyclique du pape.
Des deux prêtres que nous mettons en parallèle, il y en eut un qui se prosterna sur le tombeau des apôtres, immolant son orgueil et se courbant sous le joug de la foi.
Or, c’est précisément de cette humble soumission que vous le blâmez, nos maîtres !
Il eût fallu, n’est-il pas vrai, que Lacordaire maintînt son programme, accusât le Saint-Siège d’obscurantisme, et fît avec vous cause commune, en foulant aux pieds ses devoirs de prêtre et de chrétien ?
Nous l’avouons, il a eu tort aux yeux