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une seconde, trouvées l’une et l’autre incomplètes par la cour de Rome. Enfin, il se décida à accepter purement et simplement les doctrines de l’encyclique, disant à l’archevêque :
— Je signe que le pape est Dieu, mais je le signe pour avoir la paix.
Il quitta Paris et alla de nouveau s’enfermer dans sa solitude de Bretagne.
Dix-huit mois durant il y resta sans donner signe d’existence.
Qu’attendait-il ? sa nomination au sacré collége ? On serait tenté de le supposer, et les Paroles d’un Croyant, publiées vers le milieu de 1834, ne sont peut-être que le résultat fatal d’une dernière espérance trompée.
Chacun de nous se rappelle le tressail-