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répondit au prélat par deux lettres furibondes.

Il voyait la Révolution de juillet en perspective.

Quand elle éclata, il poussa un cri de victoire, dont tous les organes de la publicité se firent l’écho et qui retentit d’un bout du monde à l’autre.

« Voyez ! criait-il, où étaient les torts ? Ne vous disais-je pas que la société marchait sur une route fatale ? Tous les rois de l’Europe avaient perdu le sens, et le pape lui-même était frappé de vertige. Le ciel est pour moi, la Providence consolide mes doctrines. Vous l’avez voulu ! vous l’avez voulu ! »

Jusqu’à ce jour, il y avait eu simple-