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ger le jeune homme. Il prit en dégoût et en haine ce monde qu’il avait voulu connaître et rentra dans la solitude, honteux, désespéré, pleurant tous ses rêves évanouis, toutes ses espérances perdues.
Son frère, qui se destinait à la prêtrise, le visita dans sa retraite et lui prodigua les consolations chrétiennes, les seules qui dans un malheur sérieux puissent, ici-bas, sécher nos larmes.
Félicité de Lamennais fut touché par la grâce et se décida à faire sa première communion.
Il entrait dans sa vingt-deuxième année.
Le collége de Saint-Malo l’accepta comme