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des milliers de bulles étincelantes, qui tourbillonnent en l’air et crèvent où elles peuvent.

C’est le spectacle le plus amusant qui soit au monde.

Dans ce tohu-bohu verbeux, dans ce fatras, dans ce tumulte, cherchez l’idée, vous la trouverez absente. Papillotage de style, faux éclat, citations puériles, répétition systématique des mots, Phébus ridicule et redondances éternelles, voilà tout Janin. Le quart d’une idée lui suffit pour accoucher d’un feuilleton de douze colonnes.

Et le chapitre des âneries, juste ciel ! oserons-nous l’aborder ?

Ce malheureux critique ne sait rien,